En France métropolitaine, la semaine dernière, l’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimée à 22 cas pour 100 000 habitants.
Sept foyers d’activité régionale ont été notés, forte en Languedoc-Roussillon (40 cas pour 100 000 habitants), et modérée en Bretagne (24), Rhône-Alpes (24), Provence-Alpes-Côte-d’Azur (23), Ile-de-France (23), Picardie (23) et Corse (21). Les données régionales complètes sont présentées à la fin du bulletin.
En France métropolitaine, la semaine dernière, l’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimée à 109 cas pour 100 000 habitants, en dessous du seuil épidémique (180 cas pour 100 000 habitants). Les données régionales complètes sont présentées à la fin de ce bulletin.
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En Ile-de-France, la semaine dernière, l’incidence des cas de diarrhées aiguës vus en consultation de médecine générale a été estimée à 274 cas pour 100 000 habitants.
En Ile-de-France, la semaine dernière, l’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimée à 16 cas pour 100 000 habitants.
En Ile-de-France, la semaine dernière, aucun cas de syndromes grippaux n’a été vu en consultation par les médecins Sentinelles.
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L’ANSM édite une brochure sur les risques liés au méthylphénidate, les modalités de surveillance et les règles de bon usage afin d’apporter aux patients et à leur entourage les informations nécessaires avant de démarrer le traitement.
Limitée en France, l’utilisation du méthylphénidate est cependant en constante croissance depuis 10 ans. Il est indiqué dans le cadre de la prise en charge du trouble déficit de l’attention / hyperactivité (TDAH) chez l’enfant de 6 ans et plus, lorsque les mesures correctives psychologiques, éducatives, sociales et familiales seules s’avèrent insuffisantes.
Une surveillance particulière doit être apportée, notamment en cas d’utilisation au long cours, en raison des risques d’effets indésirables neuropsychiatriques, cardiovasculaires et cérébro-vasculaires et du risque de retard de croissance staturo-pondéral chez l’enfant. Les risques de mésusage et de dépendance nécessitent également une surveillance particulière.
Les données de suivi publiées par l’ANSM [Rapport du 17/07/2013] montrent que les mesures de surveillance renforcée des médicaments contenant du méthylphénidate ont permis de limiter les dérives d’utilisation et de confirmer la balance bénéfice/risque positive lors d’une utilisation sur la base d’un diagnostic bien établi et dans le respect des conditions d’utilisation définies par l’AMM.
Les conditions particulières de prescription et de délivrance de ces médicaments stupéfiants sont détaillées sur le site Meddispar et sur le site de l’ANSM.
Rappelons que tout effet indésirable grave ou inattendu doit être déclaré par les professionnels de santé aux centres régionaux de pharmacovigilance.
La brochure « Vous et le traitement du trouble déficit de l’attention / hyperactivité par méthylphénidate » a été conçue par l’ANSM en lien avec les laboratoires et l’association de patients HyperSupers TDAH France. Elle a pour but de rappeler aux patients et à leur entourage les risques liés au méthylphénidate, les modalités de surveillance et les règles de bonne utilisation du médicament.
Commandez la brochure mise à disposition par le Cespharm !
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