C’est le 31 mai qu’aura lieu la traditionnelle Journée mondiale sans tabac. Une belle occasion pour sensibiliser vos patients à l’intérêt du sevrage et les informer sur les accompagnements possibles. L’Inpes et le Cespharm vous proposent de nombreux outils pour vous permettre de faire passer le message au mieux.
Pour cette édition 2014, si l’OMS s’adresse au pouvoirs publics en posant la fiscalité du tabac comme « levier indispensable pour faire baisser la consommation », l’Inpes communique directement auprès du grand public par l’intermédiaire de cinq brochures et une affiche que les professionnels de santé sont invités à diffuser largement.
Chacune des brochures aborde un aspect concret et bien délimité du tabagisme et de son arrêt : des informations sur l’industrie du tabac, les raisons d’arrêter, les aides disponibles pour accompagner l’arrêt, la question de la fréquente prise de poids au cours du sevrage et celle du tabagisme pendant la grossesse. Ces supports d’information constituent également une porte d’entrée vers le dialogue avec l’interlocuteur de santé privilégié qu’est le pharmacien. Ils renvoient également vers le dispositif d’aide à distance Tabac Info Service.
Le poster qui vient compléter le dispositif prévu par l’Inpes affiche le slogan « Et si vous profitiez de votre grossesse pour arrêter de fumer ? »
Tous ces outils sont d’ores et déjà disponibles à la commande auprès du Cespharm en plus d’une sélection de documents professionnels.
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 33 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [20 ; 46]).
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 85 cas pour 100 000 habitants [1] (IC 95% [57 ; 113]), en dessous du seuil épidémique (160 cas pour 100 000 habitants).
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 6 cas pour 100 000 habitants [1] (IC 95% [0 ; 13]), en dessous du seuil épidémique (74 cas pour 100 000 habitants).