En Ile-de-France, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultations de médecine générale a été estimé à 166 cas pour 100 000 habitants IC 95% [72 ; 260].
En Ile-de-France, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultations de médecine générale a été estimé à 8 cas pour 100 000 habitants IC 95% [0 ; 18].
Sentiweb Hebdo – Bulletin de la Semaine
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 128 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [107 ; 149]), en dessous du seuil épidémique (236 cas pour 100 000 habitants) [1].
[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 25 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [16 ; 34]), en dessous du seuil épidémique (142 cas pour 100 000 habitants) [1].
Surveillance virologique : Depuis la semaine 2015s40, date de reprise de la surveillance virologique, 115 prélèvements ont été réalisés par les médecins du réseau Sentinelles, 109 par les médecins généralistes et 6 par les pédiatres libéraux. Parmi les 107 prélèvements testés pour la présence de virus grippaux, aucun n’était positif. Parmi les prélèvements testés pour d’autres virus respiratoires, 10/111 étaient positifs pour le virus respiratoire syncytial, 25/107 pour les rhinovirus et 1/75 pour le métapneumovirus.
[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 9 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [4 ; 14]).
Trois foyers régionaux ont été observés, d’activité forte en Languedoc-Roussillon (62 cas pour 100 000 habitants) et Bretagne (42) et modérée en Ile-de-France (22).
Sentiweb Hebdo – Bulletin de la Semaine
Pour son engagement dans la formation des équipes pharmaceutiques à la prévention et à la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, Julie Langlois se verra bientôt remettre le Prix du Cespharm. Une jeune lauréate très active dans son domaine !
Le curriculum vitae de Julie Langlois met en lumière son implication de toujours dans le domaine du VIH. Une thèse, soutenue en 2006 sur le rôle du pharmacien dans la prise en charge globale des patients infectés par le VIH en Afrique de l’Ouest, a précédé 10 années d’engagement en matière de prévention, d’éducation sanitaire et d’éducation thérapeutique autour du VIH dans des structures telles que Sidaction, Médecins sans frontière ou la Société française de lutte contre le sida (SFLS).
C’est en particulier pour l’élaboration de nombreux outils pratiques pour le pharmacien, que le jury du Prix du Cespharm l’a désignée à l’unanimité comme lauréate 2015. Julie Langlois a en effet activement participé à l’élaboration de recommandations pour la dispensation des antirétroviraux (ARV) dans les pays à ressources limitées. Elle a également contribué à la mise au point de Tables de posologies des ARV pédiatriques, d’une réglette d’interactions médicamenteuses des ARV et d’un support de formation de formateurs officinaux dans le cadre de la récente mise sur le marché des autotests de dépistage du VIH.
Pour ses réalisations et ce Prix, le Cespharm lui adresse ses plus vives félicitations !
« Un geste simple peut vous sauver la vie », telle est la signature de la nouvelle campagne d’information sur le dépistage du cancer colorectal menée par l’Institut national du cancer (INCa) pendant tout le mois de novembre.
Avec 42150 nouveaux cas et 17700 décès estimés en 2012 en France, le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent et le deuxième cancer le plus meurtrier. Pourtant, détecté à un stade précoce, il peut être guéri dans 9 cas sur 10.
La campagne de l’INCa s’adresse aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans ciblées par le dépistage organisé. L’objectif est de les sensibiliser à l’importance de se faire dépister tous les 2 ans contre ce cancer et de les informer sur les avantages du test immunologique. Pour rappel, les personnes concernées sont invitées tous les 2 ans à réaliser un test de dépistage remis par leur médecin traitant et pris en charge à 100%.
Le remplacement du test Hémoccult par le test immunologique de détection de sang occulte dans les selles est effectif depuis le mois de mai. Ce nouveau test est plus fiable et plus performant : il permet de détecter environ 2 fois plus de cancers colorectaux et 2,5 fois plus d’adénomes avancés. Plus simple d’utilisation, il ne nécessite qu’un seul prélèvement de selles contre six auparavant.
A l’occasion de cette campagne, le Cespharm met à votre disposition une affiche ainsi que deux documents à remettre aux personnes âgées de 50 à 74 ans (carte postale, dépliant d’information présentant les avantages du nouveau test de dépistage ainsi que l’intérêt et le déroulement du dépistage organisé).
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 23 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [15 ; 31]), en dessous du seuil épidémique (135 cas pour 100 000 habitants) [1].
Surveillance virologique : Depuis la semaine 2015s40, date de reprise de la surveillance virologique, 97 prélèvements ont été réalisés par les médecins du réseau Sentinelles. Parmi les 82 prélèvements testés pour la présence de virus grippaux, aucun n’était positif. Parmi les prélèvements testés pour d’autres virus respiratoires, 6/89 étaient positifs pour le virus respiratoire syncytial, 20/82 pour les rhinovirus et 1/61 pour le métapneumovirus.
[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.