En dépit d’une météo capricieuse dans certaines régions de l’Hexagone, l’été est là. Pour prévenir les risques liés aux rayons UV d’une part et aux fortes chaleurs d’autre part, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information pour vos patients et votre pratique professionnelle.

Dommages cutanés et oculaires liés aux expositions solaires, coup de chaleur, déshydratation, voire décès liés aux fortes chaleurs… les risques des rayons UV ou des températures élevées ne sont pas anodins. Ils sont pourtant le plus souvent évitables, à condition de connaître et d’adopter les bonnes attitudes de prévention !
Ces conseils, bien que largement diffusés depuis plusieurs années ne sont pas systématiquement appliqués. Pour appuyer votre action de sensibilisation du public à ces questions, le Cespharm vous propose plusieurs outils.

Côté soleil, une affiche et une brochure destinées au public ainsi qu’un dossier et une fiche mémo pour votre information professionnelle sont disponibles.

L’occasion de rappeler notamment qu’il convient éviter l’exposition au soleil entre midi et 16 heures, de porter un chapeau et des lunettes de soleil, d’appliquer une crème solaire adaptée toutes les 2 heures et de prêter une vigilance toute particulière aux enfants (ne jamais exposer les bébés), plus vulnérables que les adultes vis-à-vis des rayons UV. Le site Internet prevention-soleil.fr, élaboré par l’Inpes, constitue par ailleurs une source d’information complète et pédagogique pour le public.

Côté fortes chaleurs, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure pour le public. Deux documents pour votre pratique professionnelle sont également proposés.

Les documents grand public détaillent les attitudes à adopter en cas de températures élevées et revoient vers le numéro vert Canicule info service (0 800 06 66 66). La brochure informe en outre du fait que les sujets âgés, handicapés ou isolés peuvent être inscrits sur le registre des mairies ou faire appel au Centres communaux d’action sociale pour bénéficier d’aide en cas de canicule.
Les documents professionnels s’attardent sur le cas des personnes âgées ou fragiles qui relèvent de consignes particulières. La problématique des traitements médicamenteux exposant à des risques particuliers en cas de températures élevées y est également abordée.

Le décret n°2016-865, paru au Journal Officiel le 30 juin dernier, étend la gratuité des frais liés à la contraception des jeunes filles mineures d’au moins 15 ans aux consultations et à certains examens biologiques.

Depuis le 1er juillet 2016, sont désormais pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie :

– les frais relatifs à une consultation annuelle d’un médecin ou d’une sage-femme donnant lieu à la prescription d’un contraceptif ou d’examens de biologie médicale en vue d’une prescription contraceptive,

– les frais relatifs à une consultation de suivi par un médecin ou une sage-femme la première année d’accès à la contraception,

– les frais relatifs aux examens de biologie médicale comportant un dosage du cholestérol total et des triglycérides et une glycémie à jeun, réalisés en vue d’une prescription contraceptive et dans la limite d’une fois par an,

– les frais relatifs aux actes d’un médecin ou d’une sage-femme donnant lieu à la pose, au changement ou au retrait d’un contraceptif.

Ce dispositif d’accès des mineures à la contraception comprend par ailleurs la protection par le secret de la délivrance de contraceptifs, de la réalisation d’examens de biologie médicale en vue d’une prescription contraceptive, de la prescription de ces examens ou d’un contraceptif, ainsi que de leur prise en charge (Art. L5134-1 du CSP).

Le décret n°2016-865 complète le dispositif de délivrance gratuite et protégée par le secret des contraceptifs remboursables aux mineures d’au moins 15 ans en pharmacie, mis en place depuis le 31 mars 2013 (décret n°2013-248 du 25 mars 2013). Pour rappel, les modalités pratiques de délivrance et de facturation des contraceptifs aux jeunes filles mineures sont détaillées sur le site de l’Assurance maladie.

Le décret n°2016-865, paru au Journal Officiel le 30 juin dernier, étend la gratuité des frais liés à la contraception des jeunes filles mineures d’au moins 15 ans aux consultations et à certains examens biologiques.

Depuis le 1er juillet 2016, sont désormais pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie :

– les frais relatifs à une consultation annuelle d’un médecin ou d’une sage-femme donnant lieu à la prescription d’un contraceptif ou d’examens de biologie médicale en vue d’une prescription contraceptive,

– les frais relatifs à une consultation de suivi par un médecin ou une sage-femme la première année d’accès à la contraception,

– les frais relatifs aux examens de biologie médicale comportant un dosage du cholestérol total et des triglycérides et une glycémie à jeun, réalisés en vue d’une prescription contraceptive et dans la limite d’une fois par an,

– les frais relatifs aux actes d’un médecin ou d’une sage-femme donnant lieu à la pose, au changement ou au retrait d’un contraceptif.

Ce dispositif d’accès des mineures à la contraception comprend par ailleurs la protection par le secret de la délivrance de contraceptifs, de la réalisation d’examens de biologie médicale en vue d’une prescription contraceptive, de la prescription de ces examens ou d’un contraceptif, ainsi que de leur prise en charge (Art. L5134-1 du CSP).

Le décret n°2016-865 complète le dispositif de délivrance gratuite et protégée par le secret des contraceptifs remboursables aux mineures d’au moins 15 ans en pharmacie, mis en place depuis le 31 mars 2013 (décret n°2013-248 du 25 mars 2013). Pour rappel, les modalités pratiques de délivrance et de facturation des contraceptifs aux jeunes filles mineures sont détaillées sur le site de l’Assurance maladie.

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 43 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [30 ; 56]).
Onze foyers régionaux ont été observés, d’activité forte en Nord-Pas-de-Calais (122 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [34 ; 210]), Bretagne (93, IC 95% [0 ; 208]), Centre (80, IC 95% [0 ; 167]), Languedoc-Roussillon (70, IC 95% [9 ; 131]), Limousin (48, IC 95% [0 ; 112]), Ile-de-France (42, IC 95% [9 ; 75]) et Haute-Normandie (40, IC 95% [0 ; 118]) et modérée en Midi-Pyrénées (37, IC 95% [0 ; 82]), Picardie (37, IC 95% [0 ; 113]), Franche-Comté (35, IC 95% [0 ; 100]) et Provence-Alpes-Côte-d’Azur (34, IC 95% [0 ; 77]).

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 97 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [76 ; 118]), en dessous du seuil épidémique (111 cas pour 100 000 habitants) [1].
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte-d’Azur (229 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [0 ; 468]), Aquitaine (162, IC 95% [17 ; 307]) et Alsace (137, IC 95% [2 ; 272]).
Plus d’information sur les méthodes statistiques utilisées

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [1 ; 9]), en dessous du seuil épidémique (71 cas pour 100 000 habitants) [1].
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Ile-de-France (33 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [0 ; 71]), Centre (19, IC 95% [2 ; 36]) et Limousin (15, IC 95% [0 ; 50]).
Plus d’information sur les méthodes statistiques utilisées

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.