En Ile-de-France, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultations de médecine générale a été estimé à 110 cas pour 100 000 habitants IC 95% [35 ; 185].
En Ile-de-France, la semaine dernière, aucun cas de syndromes grippaux n’a été rapporté par les médecins Sentinelles, le taux d’incidence a été estimé à 0 cas pour 100 000 habitants.
En Ile-de-France, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultations de médecine générale a été estimé à 5 cas pour 100 000 habitants IC 95% [0 ; 22].
Sentiweb Hebdo – Bulletin de la Semaine
Les pharmaciens d’officine sont de nouveau autorisés à réaliser certains tests rapides d’orientation diagnostique dans des conditions bien définies. Si les tests restent similaires à ceux mentionnés dans le précédent arrêté, certaines de leurs conditions de réalisation évoluent.
Depuis l’annulation par le Conseil d’Etat, le 8 avril 2015, du précédent arrêté (juin 2013) fixant la liste des tests ne constituant pas un examen de biologie médicale, les pharmaciens d’officine n’étaient plus autorisés à pratiquer de tests rapides d’orientation diagnostique (TROD). Exit donc, depuis plus d’un an la réalisation en officine des tests de glycémie capillaire, ainsi que des TROD oro-pharyngés de l’angine à streptocoque A et de ceux, naso-pharyngés, de la grippe.
Depuis début août 2016, un arrêté autorise de nouveau la réalisation de ces tests dans un espace de confidentialité de l’officine. Si les conditions de réalisation des deux tests ORL restent inchangées (orientation diagnostique de l’angine à streptocoque A et de la grippe), celles du test de glycémie capillaire sont légèrement modifiées. L’arrêté ne mentionne plus la possibilité de réaliser ce test capillaire dans le cadre de l’éducation thérapeutique d’un patient et le réserve désormais au « repérage d’une glycémie anormale dans le cadre d’une campagne de prévention du diabète« .
Les pharmaciens d’officine sont de nouveau autorisés à réaliser certains tests rapides d’orientation diagnostique dans des conditions bien définies. Si les tests restent similaires à ceux mentionnés dans le précédent arrêté, certaines de leurs conditions de réalisation évoluent.
Depuis l’annulation par le Conseil d’Etat, le 8 avril 2015, du précédent arrêté (juin 2013) fixant la liste des tests ne constituant pas un examen de biologie médicale, les pharmaciens d’officine n’étaient plus autorisés à pratiquer de tests rapides d’orientation diagnostique (TROD). Exit donc, depuis plus d’un an la réalisation en officine des tests de glycémie capillaire, ainsi que des TROD oro-pharyngés de l’angine à streptocoque A et de ceux, naso-pharyngés, de la grippe.
Depuis début août 2016, un arrêté autorise de nouveau la réalisation de ces tests dans un espace de confidentialité de l’officine. Si les conditions de réalisation des deux tests ORL restent inchangées (orientation diagnostique de l’angine à streptocoque A et de la grippe), celles du test de glycémie capillaire sont légèrement modifiées. L’arrêté ne mentionne plus la possibilité de réaliser ce test capillaire dans le cadre de l’éducation thérapeutique d’un patient et le réserve désormais au « repérage d’une glycémie anormale dans le cadre d’une campagne de prévention du diabète« .
Les pharmaciens d’officine sont de nouveau autorisés à réaliser certains tests rapides d’orientation diagnostique dans des conditions bien définies. Si les tests restent similaires à ceux mentionnés dans le précédent arrêté, certaines de leurs conditions de réalisation évoluent.
Depuis l’annulation par le Conseil d’Etat, le 8 avril 2015, du précédent arrêté (juin 2013) fixant la liste des tests ne constituant pas un examen de biologie médicale, les pharmaciens d’officine n’étaient plus autorisés à pratiquer de tests rapides d’orientation diagnostique (TROD). Exit donc, depuis plus d’un an la réalisation en officine des tests de glycémie capillaire, ainsi que des TROD oro-pharyngés de l’angine à streptocoque A et de ceux, naso-pharyngés, de la grippe.
Depuis début août 2016, un arrêté autorise de nouveau la réalisation de ces tests dans un espace de confidentialité de l’officine. Si les conditions de réalisation des deux tests ORL restent inchangées (orientation diagnostique de l’angine à streptocoque A et de la grippe), celles du test de glycémie capillaire sont légèrement modifiées. L’arrêté ne mentionne plus la possibilité de réaliser ce test capillaire dans le cadre de l’éducation thérapeutique d’un patient et le réserve désormais au « repérage d’une glycémie anormale dans le cadre d’une campagne de prévention du diabète« .
Suite à l’octroi de nouvelles missions aux sages-femmes, par la loi de modernisation de notre système de santé de janvier 2016, des arrêtés d’application viennent de paraître, en particulier ceux concernant la vaccination de l’entourage des femmes enceintes et des nouveau-nés et les prescriptions à cette population.
Outre la capacité nouvelle de réaliser des interruptions volontaires de grossesse (IVG) médicamenteuses, la loi de modernisation de notre système de santé a notamment accordé aux sages-femmes la possibilité de réaliser certaines vaccinations et prescriptions pour l’entourage des nouveau-nés et des femmes enceintes.
Dans ce contexte, plusieurs arrêtés ont parus depuis début août, redéfinissant le cadre des prescriptions et des vaccinations autorisées pour les sages-femmes. En résumé, ces textes accordent désormais aux sages-femmes le droit de :
- prescrire et pratiquer les 9 vaccinations suivantes pour l’entourage des femmes enceintes et des nouveau-nés (vaccins monovalents ou associés) : rubéole – rougeole – oreillons, tétanos, diphtérie, poliomyélite, coqueluche, hépatite B, grippe, infections invasives à méningocoque C et infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
- prescrire des substituts nicotiniques à l’entourage des femmes enceintes et des nouveau-nés dans le cadre d’un sevrage tabagique ;
- prescrire et pratiquer la vaccination contre la varicelle pour les femmes ;
- réaliser des IVG médicamenteuses, et prescrire les médicaments associés : anti-progestatifs et prostaglandines (usage professionnel) et antalgiques nécessaires dans ce cadre (association paracétamol / poudre d’opium et AINS).
Suite à l’octroi de nouvelles missions aux sages-femmes, par la loi de modernisation de notre système de santé de janvier 2016, des arrêtés d’application viennent de paraître, en particulier ceux concernant la vaccination de l’entourage des femmes enceintes et des nouveau-nés et les prescriptions à cette population.
Outre la capacité nouvelle de réaliser des interruptions volontaires de grossesse (IVG) médicamenteuses, la loi de modernisation de notre système de santé a notamment accordé aux sages-femmes la possibilité de réaliser certaines vaccinations et prescriptions pour l’entourage des nouveau-nés et des femmes enceintes.
Dans ce contexte, plusieurs arrêtés ont parus depuis début août, redéfinissant le cadre des prescriptions et des vaccinations autorisées pour les sages-femmes. En résumé, ces textes accordent désormais aux sages-femmes le droit de :
- prescrire et pratiquer les 9 vaccinations suivantes pour l’entourage des femmes enceintes et des nouveau-nés (vaccins monovalents ou associés) : rubéole – rougeole – oreillons, tétanos, diphtérie, poliomyélite, coqueluche, hépatite B, grippe, infections invasives à méningocoque C et infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
- prescrire des substituts nicotiniques à l’entourage des femmes enceintes et des nouveau-nés dans le cadre d’un sevrage tabagique ;
- prescrire et pratiquer la vaccination contre la varicelle pour les femmes ;
- réaliser des interruptions volontaires de grossesse médicamenteuses, et prescrire les médicaments associés : anti-progestatifs et prostaglandines (usage professionnel) et antalgiques nécessaires dans ce cadre (association paracétamol / poudre d’opium et AINS).
En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 4 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [0 ; 8]).
Deux foyers régionaux d’activité modérée ont été observés en Champagne-Ardenne (31, IC 95% [0 ; 118]) et Alsace (21, IC 95% [0 ; 63]).