Prévenir le risque de confusions et d’erreurs. Tel est le but du projet de recommandations de l’ANSM sur les noms des médicaments. En tant que professionnels, vous êtes invités à commenter et proposer d’éventuelles modifications à ce projet de texte.

Vous avez jusqu’au 30 novembre 2016 pour participer à la consultation publique lancée par l’ANSM dans le cadre de son projet de recommandations sur les noms des médicaments. Jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de commenter et de proposer d’éventuelles modifications au projet de texte en ligne.

Ces recommandations « à l’usage des demandeurs et titulaires d’autorisations de mise sur le marché ou d’enregistrements », ont pour objectif de prévenir les risques pour la santé publique liés aux choix des noms des médicaments : confusions entre deux produits, erreur sur la population cible, les indications, la composition, les modalités d’utilisation… Des problématiques qui sont susceptibles de survenir à la fois lors de la prescription, de la dispensation ou de l’administration du médicament.

Via ce texte, l’ANSM – en charge de l’examen de ces noms – rappelle aux industriels les critères retenus lors de cet examen et propose des orientations nouvelles. Elle préconise notamment :

  • un encadrement plus strict des « marques ombrelles » ;
  • davantage de rigueur également vis-à-vis de la mention de l’arôme sur le conditionnement des médicaments ;
  • une expression en DCI du nom des génériques.

Prévenir le risque de confusions et d’erreurs. Tel est le but du projet de recommandations de l’ANSM sur les noms des médicaments. En tant que professionnels, vous êtes invités à commenter et proposer d’éventuelles modifications à ce projet de texte.

Vous avez jusqu’au 30 novembre 2016 pour participer à la consultation publique lancée par l’ANSM dans le cadre de son projet de recommandations sur les noms des médicaments. Jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de commenter et de proposer d’éventuelles modifications au projet de texte en ligne.

Ces recommandations « à l’usage des demandeurs et titulaires d’autorisations de mise sur le marché ou d’enregistrements », ont pour objectif de prévenir les risques pour la santé publique liés aux choix des noms des médicaments : confusions entre deux produits, erreur sur la population cible, les indications, la composition, les modalités d’utilisation… Des problématiques qui sont susceptibles de survenir à la fois lors de la prescription, de la dispensation ou de l’administration du médicament.

Via ce texte, l’ANSM – en charge de l’examen de ces noms – rappelle aux industriels les critères retenus lors de cet examen et propose des orientations nouvelles. Elle préconise notamment :

  • un encadrement plus strict des « marques ombrelles » ;
  • davantage de rigueur également vis-à-vis de la mention de l’arôme sur le conditionnement des médicaments ;
  • une expression en DCI du nom des génériques.

La parole est à vous. Ouvert pour quelques semaines, l’espace participatif de la concertation citoyenne sur la vaccination vise à recueillir un maximum d’avis sur le sujet. Le but ? Comprendre les inquiétudes et trouver des solutions pour améliorer la confiance et la couverture vaccinale. Contribuez-y !

« Exprimez votre ressenti sur la vaccination. Quelles recommandations feriez-vous pour améliorer la confiance dans la vaccination ? Et pour améliorer la couverture vaccinale ? » Le ministère chargé de la Santé et Santé publique France ouvrent un espace d’expression sur la vaccination afin de mieux comprendre les inquiétudes et critiques dont la vaccination fait l’objet et de rétablir la confiance des Français dans la politique vaccinale.

La mise à disposition de cette plateforme jusqu’au 13 octobre est la troisième étape de la vaste concertation citoyenne qui a démarré en mai 2016 (enquêtes d’opinion suivies de la réunion de jurys de citoyens et de professionnels de santé). Après la restitution publique, en novembre prochain, de l’ensemble des avis des jurys, des contributions citoyennes et des pistes de réflexion du comité d’orientation, un rapport final sera remis à la ministre en décembre afin d’inspirer la rénovation de la politique vaccinale.

Tous les Français qui le souhaitent sont appelés à participer à cette consultation en ligne. Contribuez-y et faites-la connaître !

Le samedi 17 septembre aura lieu la Journée mondiale du don de moelle osseuse. Pour la deuxième année, cet événement sera relayé en France par l’Agence de la biomédecine. Une opportunité supplémentaire pour communiquer largement sur ce don grâce à l’affiche et à la brochure disponibles via le Cespharm.

 

« Joyeux nouvel anniv’ « , tel est le slogan autour duquel s’articulera la campagne nationale de l’Agence de la biomédecine, à partir du 17 septembre, dans le cadre de la Journée mondiale pour le don de moelle osseuse. L’idée est de mettre à l’honneur les personnes ayant bénéficié d’une telle greffe et la nouvelle vie qui s’ensuit pour eux, telle une « re-naissance ». Cette nouvelle campagne rend aussi indirectement hommage à tous les donneurs anonymes de moelle osseuse.

 

A cette occasion, 24 gares de l’Hexagone relaieront la campagne, permettant de faire découvrir aux voyageurs le don de moelle osseuse et la possibilité de s’inscrire sur le registre de donneurs.

 

L’Agence de la biomédecine souhaite atteindre (ou dépasser) le chiffre de 18 000 nouveaux inscrits sur le registre en 2016, afin d’accroître les chances pour tout malade de trouver un donneur compatible. Si vous souhaitez les y aider en participant à l’information sur ce don encore trop peu connu, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure. Des messages à diffuser largement !

Prévenir et réduire les risques liés à l’épilepsie, tel est l’objectif de la brochure mise à votre disposition par le Cespharm pour les patients épileptiques et leur entourage. En parallèle, une brochure professionnelle informe sur le risque de décès lié à l’épilepsie. Un phénomène à déclarer lorsqu’il survient.

Le Réseau sentinelle mortalité épilepsie (RSME), vous connaissez ? Cette structure en charge du recensement des décès liés à l’épilepsie s’implique également dans l’accompagnement des familles qui y sont confrontées, l’identification des causes de ces décès et la diffusion de messages de prévention des risques liés à l’épilepsie. En association avec la Ligue française contre l’épilepsie et la Fondation française pour la recherche sur l’épilepsie, le RSME propose deux dépliants :

  • Le premier, pour les patients épileptiques et leur entourage, s’intitule « Epilepsies, comment prévenir les risques ». Il détaille des conseils de prévention et de réduction des risques liés à la pathologie ; les gestes à effectuer par l’entourage au cours d’une crise et les situations dans lesquelles il convient d’appeler le 15.
  • Le second s’adresse plus particulièrement aux professionnels de santé. Il présente le RSME, le phénomène de mortalité accrue chez les patients épileptiques et les contacts à établir en cas de survenue d’un décès (déclaration, demande de soutien pour les familles avec possibilité, en outre, d’entrer en contact avec une psychologue).

 

Ces documents sont disponibles au téléchargement ou à la commande auprès du Cespharm.

Prévenir et réduire les risques liés à l’épilepsie, tel est l’objectif de la brochure mise à votre disposition par le Cespharm pour les patients épileptiques et leur entourage. En parallèle, une brochure professionnelle informe sur le risque de décès lié à l’épilepsie. Un phénomène à déclarer lorsqu’il survient.

Le Réseau sentinelle mortalité épilepsie (RSME), vous connaissez ? Cette structure en charge du recensement des décès liés à l’épilepsie s’implique également dans l’accompagnement des familles qui y sont confrontées, l’identification des causes de ces décès et la diffusion de messages de prévention des risques liés à l’épilepsie. En association avec la Ligue française contre l’épilepsie et la Fondation française pour la recherche sur l’épilepsie, le RSME propose deux dépliants :

  • Le premier, pour les patients épileptiques et leur entourage, s’intitule « Epilepsies, comment prévenir les risques ». Il détaille des conseils de prévention et de réduction des risques liés à la pathologie ; les gestes à effectuer par l’entourage au cours d’une crise et les situations dans lesquelles il convient d’appeler le 15.
  • Le second s’adresse plus particulièrement aux professionnels de santé. Il présente le RSME, le phénomène de mortalité accrue chez les patients épileptiques et les contacts à établir en cas de survenue d’un décès (déclaration, demande de soutien pour les familles avec possibilité, en outre, d’entrer en contact avec une psychologue).

 

Ces documents sont disponibles au téléchargement ou à la commande auprès du Cespharm.

Le samedi 17 septembre aura lieu la Journée mondiale du don de moelle osseuse. Pour la deuxième année, cet événement sera relayé en France par l’Agence de la biomédecine. Une opportunité supplémentaire pour communiquer largement sur ce don grâce à l’affiche et à la brochure disponibles via le Cespharm.

 

« Joyeux nouvel anniv’ « , tel est le slogan autour duquel s’articulera la campagne nationale de l’Agence de la biomédecine, à partir du 17 septembre, dans le cadre de la Journée mondiale pour le don de moelle osseuse. L’idée est de mettre à l’honneur les personnes ayant bénéficié d’une telle greffe et la nouvelle vie qui s’ensuit pour eux, telle une « re-naissance ». Cette nouvelle campagne rend aussi indirectement hommage à tous les donneurs anonymes de moelle osseuse.

 

A cette occasion, 24 gares de l’Hexagone relaieront la campagne, permettant de faire découvrir aux voyageurs le don de moelle osseuse et la possibilité de s’inscrire sur le registre de donneurs.

 

L’Agence de la biomédecine souhaite atteindre (ou dépasser) le chiffre de 18 000 nouveaux inscrits sur le registre en 2016, afin d’accroître les chances pour tout malade de trouver un donneur compatible. Si vous souhaitez les y aider en participant à l’information sur ce don encore trop peu connu, le Cespharm met à votre disposition une affiche et une brochure. Des messages à diffuser largement !

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 7 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 12]), en dessous du seuil épidémique (91 cas pour 100 000 habitants) [1].
Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Alsace (25 cas pour 100 000 habitants, IC 95% [0 ; 66]), Nord-Pas-de-Calais (23, IC 95% [0 ; 55]) et Centre (19, IC 95% [0 ; 56]).
Plus d’information sur les méthodes statistiques utilisées

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.