Depuis début octobre, la recrudescence des intoxications liées à la consommation de champignons de cueillette, amène l’ANSES et la Direction générale de la santé à rappeler les bonnes habitudes à acquérir pour pouvoir consommer, sans risque, le fruit de sa récolte.

 

Durant les trois premières semaines d’octobre, les centres antipoison et de toxicovigilance ont enregistré près d’une centaine d’intoxications liées à la consommation de champignons. Afin de limiter les accidents de ce type, la Direction générale de la Santé (DGS) et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) rappellent les mises en garde de rigueur.

Une fiche d’information élaborée par la DGS, est par ailleurs téléchargeable et imprimable depuis le site du Cespharm. Celle-ci pointe notamment l’importance de :

  • faire examiner la cueillette par un spécialiste (pharmacien, associations ou sociétés de mycologie) avant de la consommer ;
  • ne cueillir que des spécimens en bon état et entiers afin d’en faciliter l’identification ;
  • ne pas récolter près de sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) ;
  • pour éviter les contaminations, séparer les champignons par espèce ;
  • bannir les sacs plastiques, ils accélèrent le pourrissement ;
  • se laver les mains après la récolte, stocker les champignons au réfrigérateur et les consommer, toujours cuits, dans les 2 jours.

La DGS et l’ANSES rappellent en outre que l’apparition de symptômes (digestifs, visuels, vertiges…) dans les 12 heures qui suivent la consommation de champignons de cueillette doit faire contacter le 15 ou un centre antipoison.

Depuis début octobre, la recrudescence des intoxications liées à la consommation de champignons de cueillette, amène l’ANSES et la Direction générale de la santé à rappeler les bonnes habitudes à acquérir pour pouvoir consommer, sans risque, le fruit de sa récolte.

 

Durant les trois premières semaines d’octobre, les centres antipoison et de toxicovigilance ont enregistré près d’une centaine d’intoxications liées à la consommation de champignons. Afin de limiter les accidents de ce type, la Direction générale de la Santé (DGS) et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) rappellent les mises en garde de rigueur.

Une fiche d’information élaborée par la DGS, est par ailleurs téléchargeable et imprimable depuis le site du Cespharm. Celle-ci pointe notamment l’importance de :

  • faire examiner la cueillette par un spécialiste (pharmacien, associations ou sociétés de mycologie) avant de la consommer ;
  • ne cueillir que des spécimens en bon état et entiers afin d’en faciliter l’identification ;
  • ne pas récolter près de sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) ;
  • pour éviter les contaminations, séparer les champignons par espèce ;
  • bannir les sacs plastiques, ils accélèrent le pourrissement ;
  • se laver les mains après la récolte, stocker les champignons au réfrigérateur et les consommer, toujours cuits, dans les 2 jours.

La DGS et l’ANSES rappellent en outre que l’apparition de symptômes (digestifs, visuels, vertiges…) dans les 12 heures qui suivent la consommation de champignons de cueillette doit faire contacter le 15 ou un centre antipoison.

Afin d’intensifier la lutte contre le tabagisme, l’Alliance contre le tabac lance un Appel aux professionnels de santé. Via une plateforme Internet récemment mise en ligne, l’objectif est de recueillir au moins 100 000 signatures de professionnels afin, notamment, d’interpeller les élus sur l’importance d’agir.

Le constat est lourd* : 220 décès chaque jour en France seraient liés au tabac et un fumeur vivrait en moyenne 15 ans de mois qu’un non-fumeur. Côté finances, le coût sanitaire du tabagisme est estimé à près de 26 milliards d’euros (les taxes sur le tabac n’en représentent « que » 14).

Face à ces chiffres, Michèle Delaunay (présidente de l’Alliance contre le tabac et députée) et Jean Deleuze (praticien attaché à l’hôpital Cochin et rédacteur en chef de La Revue du praticien) lancent l’Appel des 100 000. L’objectif de cette action est de recueillir 100 000 signatures de professionnels de santé :
•  s’engageant à venir activement en aide aux fumeurs ;
•  et souhaitant interpeller les responsables politiques pour donner une nouvelle impulsion à la lutte contre le tabagisme (respect effectif de la loi Evin, augmentation du prix du tabac, action de groupe possible contre les cigarettiers…).

Cet Appel est soutenu par les ordres professionnels et de nombreuses structures et sociétés savantes.

Pour y participer, rendez-vous sur la plateforme de recueil de signatures.

 

* Source : Alliance contre le tabac

Afin d’intensifier la lutte contre le tabagisme, l’Alliance contre le tabac lance un Appel aux professionnels de santé. Via une plateforme Internet récemment mise en ligne, l’objectif est de recueillir au moins 100 000 signatures de professionnels afin, notamment, d’interpeller les élus sur l’importance d’agir.

Le constat est lourd* : 220 décès chaque jour en France seraient liés au tabac et un fumeur vivrait en moyenne 15 ans de mois qu’un non-fumeur. Côté finances, le coût sanitaire du tabagisme est estimé à près de 26 milliards d’euros (les taxes sur le tabac n’en représentent « que » 14).

Face à ces chiffres, Michèle Delaunay (présidente de l’Alliance contre le tabac et députée) et Jean Deleuze (praticien attaché à l’hôpital Cochin et rédacteur en chef de La Revue du praticien) lancent l’Appel des 100 000. L’objectif de cette action est de recueillir 100 000 signatures de professionnels de santé :
•  s’engageant à venir activement en aide aux fumeurs ;
•  et souhaitant interpeller les responsables politiques pour donner une nouvelle impulsion à la lutte contre le tabagisme (respect effectif de la loi Evin, augmentation du prix du tabac, action de groupe possible contre les cigarettiers…).

Cet Appel est soutenu par les ordres professionnels et de nombreuses structures et sociétés savantes.

Pour y participer, rendez-vous sur la plateforme de recueil de signatures.

 

* Source : Alliance contre le tabac

Comme annoncé au printemps, Marisol Touraine lance le Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques. Articulé autour de 5 axes, celui-ci vise en particulier à améliorer la connaissance, la prévention et la prise en charge de ces pathologies.

« Ce plan vise à éviter le sentiment d’abandon et l’errance thérapeutique auxquels sont confrontés des malades de Lyme. Il permet de mieux comprendre la maladie, de soigner plus efficacement les patients et de mobiliser tous les outils disponibles pour prévenir la maladie. » L’essentiel est ainsi résumé par Marisol Touraine, fin septembre 2016, lors du coup d’envoi du Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques (encéphalites à tiques, Rickettsioses…).

 

Fruit des échanges entre les associations de patients, les professionnels et les autorités sanitaires, ce plan se divise en 5 axes stratégiques :

  • Améliorer la surveillance vectorielle et les mesures de lutte contre les tiques.
  • Renforcer la surveillance et la prévention des maladies transmises par les tiques, en intensifiant en particulier l’information auprès du public et la formation des professionnels de santé. Pour vous impliquer dores et déjà en ce sens, le Cespharm met à votre disposition une brochure grand public et un document d’information professionnelle sur la maladie de Lyme.
  • Améliorer et uniformiser la prise en charge des maladies : lutter contre l’«errance médicale» en élaborant notamment un protocole national de diagnostics et de soins.
  • Améliorer les tests diagnostiques : l’ANSM et le Centre national de référence poursuivent l’évaluation des kits déjà disponibles et de la bonne interprétation des résultats par les laboratoires de biologie médicale. En parallèle, l’Institut Pasteur engagera des travaux pour le développement de nouveaux outils diagnostiques.
  • Mobiliser la recherche sur les maladies transmissibles par les tiques : outils diagnostiques (voir point précédent), connaissance des agents pathogènes et des maladies.

Comme annoncé au printemps, Marisol Touraine lance le Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques. Articulé autour de 5 axes, celui-ci vise en particulier à améliorer la connaissance, la prévention et la prise en charge de ces pathologies.

« Ce plan vise à éviter le sentiment d’abandon et l’errance thérapeutique auxquels sont confrontés des malades de Lyme. Il permet de mieux comprendre la maladie, de soigner plus efficacement les patients et de mobiliser tous les outils disponibles pour prévenir la maladie. » L’essentiel est ainsi résumé par Marisol Touraine, fin septembre 2016, lors du coup d’envoi du Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques (encéphalites à tiques, Rickettsioses…).

 

Fruit des échanges entre les associations de patients, les professionnels et les autorités sanitaires, ce plan se divise en 5 axes stratégiques :

  • Améliorer la surveillance vectorielle et les mesures de lutte contre les tiques.
  • Renforcer la surveillance et la prévention des maladies transmises par les tiques, en intensifiant en particulier l’information auprès du public et la formation des professionnels de santé. Pour vous impliquer dores et déjà en ce sens, le Cespharm met à votre disposition une brochure grand public et un document d’information professionnelle sur la maladie de Lyme.
  • Améliorer et uniformiser la prise en charge des maladies : lutter contre l’«errance médicale» en élaborant notamment un protocole national de diagnostics et de soins.
  • Améliorer les tests diagnostiques : l’ANSM et le Centre national de référence poursuivent l’évaluation des kits déjà disponibles et de la bonne interprétation des résultats par les laboratoires de biologie médicale. En parallèle, l’Institut Pasteur engagera des travaux pour le développement de nouveaux outils diagnostiques.
  • Mobiliser la recherche sur les maladies transmissibles par les tiques : outils diagnostiques (voir point précédent), connaissance des agents pathogènes et des maladies.

 

Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. A cette occasion, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information sur cette thématique, édités par l’Institut national du cancer (INCa).

Cette manifestation a notamment pour objectifs :
– d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque ;
– d’apporter aux femmes ciblées par le dépistage organisé tous les éléments leur permettant de faire le choix éclairé d’y participer ou non.

Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues de ces outils peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

 

Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé, les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

 

Par ailleurs, à l’occasion d’Octobre rose 2016, Marisol Touraine a annoncé une rénovation profonde du programme de dépistage organisé, confiée à l’INCa et à la Direction générale de la santé. Les modalités de cette refonte seront précisées à la fin de l’année. Cette annonce fait suite aux recommandations de l’INCa remises à la ministre, sur la base du rapport final de la concertation citoyenne et scientifique sur l’évolution de ce dépistage (consultable sur www.concertation-depistage.fr).

 

Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. A cette occasion, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information sur cette thématique, édités par l’Institut national du cancer (INCa).

Cette manifestation a notamment pour objectifs :
– d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque ;
– d’apporter aux femmes ciblées par le dépistage organisé tous les éléments leur permettant de faire le choix éclairé d’y participer ou non.

Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues de ces outils peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

 

Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé, les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

 

Par ailleurs, à l’occasion d’Octobre rose 2016, Marisol Touraine a annoncé une rénovation profonde du programme de dépistage organisé, confiée à l’INCa et à la Direction générale de la santé. Les modalités de cette refonte seront précisées à la fin de l’année. Cette annonce fait suite aux recommandations de l’INCa remises à la ministre, sur la base du rapport final de la concertation citoyenne et scientifique sur l’évolution de ce dépistage (consultable sur www.concertation-depistage.fr).

 

La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et prendra fin le 31 janvier 2017. « Pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination », tel est le message-clé à relayer à nouveau cette saison.

Le taux de couverture vaccinale des populations à risque reste insuffisant malgré une légère remontée observée en 2015 (48,3% versus 46,1% en 2014). L’an dernier, 77% des cas de grippe admis en réanimation ont concerné des personnes présentant des facteurs de risque. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle aux personnes à risque que le vaccin est le moyen le plus efficace pour réduire les complications graves et les hospitalisations liées à la grippe.

Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée : les souches A (H3N2) et B sont actualisées tandis que la souche A (H1N1), responsable de la pandémie grippale de 2009, reste inchangée.

Rappelons que le vaccin antigrippal trivalent est pris en charge à 100% notamment pour :
– les sujets âgés de 65 ans et plus,
– les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
– les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
– les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.

Comme lors des campagnes précédentes, les personnes « non primo-vaccinantes » invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les « primo-vaccinants », pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.

Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie. Par ailleurs, le Cespharm met à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière.

 

La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et prendra fin le 31 janvier 2017. « Pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination », tel est le message-clé à relayer à nouveau cette saison.

Le taux de couverture vaccinale des populations à risque reste insuffisant malgré une légère remontée observée en 2015 (48,3% versus 46,1% en 2014). L’an dernier, 77% des cas de grippe admis en réanimation ont concerné des personnes présentant des facteurs de risque. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle aux personnes à risque que le vaccin est le moyen le plus efficace pour réduire les complications graves et les hospitalisations liées à la grippe.

Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée : les souches A (H3N2) et B sont actualisées tandis que la souche A (H1N1), responsable de la pandémie grippale de 2009, reste inchangée.

Rappelons que le vaccin antigrippal trivalent est pris en charge à 100% notamment pour :
– les sujets âgés de 65 ans et plus,
– les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
– les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
– les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.

Comme lors des campagnes précédentes, les personnes « non primo-vaccinantes » invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les « primo-vaccinants », pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.

Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie. Par ailleurs, le Cespharm met à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière.