En Ile-de-France, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultations de médecine générale a été estimé à 14 cas pour 100 000 habitants IC 95% [0 ; 31].
Sentiweb Hebdo – Bulletin de la Semaine
A l’approche de l’hiver, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils d’information rappelant les mesures à adopter pour limiter la transmission des virus hivernaux.
Selon Santé publique France, les virus responsables des gastro-entérites continuent à circuler en France métropolitaine, même si le taux d’incidence est repassé en dessous du seuil épidémique. L’Ile-de-France et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur se trouvent désormais en phase pré-épidémique de bronchiolite. Dans ce contexte, l’hygiène des mains est primordiale pour se protéger de ces infections.
Les mains représentent en effet un vecteur important de la transmission des virus de l’hiver. Il est donc recommandé de se les laver plusieurs fois par jour avec du savon ou d’utiliser une solution hydroalcoolique, notamment avant chaque repas, avant de s’occuper d’un nourrisson, après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, ou encore après avoir utilisé les transports en commun.
Pour vous aider à sensibiliser le public, le Cespharm vous propose des affiches, une brochure présentant de façon illustrée les principaux gestes de prévention à adopter pour limiter les risques d’infections virales respiratoires, ainsi que des dépliants sur la bronchiolite et la diarrhée du jeune enfant.
Sont également mis à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière et un dossier documentaire sur les infections respiratoires de l’hiver.
A l’approche de l’hiver, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils d’information rappelant les mesures à adopter pour limiter la transmission des virus hivernaux.
Selon Santé publique France, les virus responsables des gastro-entérites continuent à circuler en France métropolitaine, même si le taux d’incidence est repassé en dessous du seuil épidémique. L’Ile-de-France et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur se trouvent désormais en phase pré-épidémique de bronchiolite. Dans ce contexte, l’hygiène des mains est primordiale pour se protéger de ces infections.
Les mains représentent en effet un vecteur important de la transmission des virus de l’hiver. Il est donc recommandé de se les laver plusieurs fois par jour avec du savon ou d’utiliser une solution hydroalcoolique, notamment avant chaque repas, avant de s’occuper d’un nourrisson, après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, ou encore après avoir utilisé les transports en commun.
Pour vous aider à sensibiliser le public, le Cespharm vous propose des affiches, une brochure présentant de façon illustrée les principaux gestes de prévention à adopter pour limiter les risques d’infections virales respiratoires, ainsi que des dépliants sur la bronchiolite et la diarrhée du jeune enfant.
Sont également mis à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière et un dossier documentaire sur les infections respiratoires de l’hiver.
Dans le cadre de la campagne « Moi(s) sans tabac » et à l’occasion de la Journée mondiale contre la BPCO le 16 novembre prochain, la Fondation du souffle met l’accent sur l’importance d’arrêter le tabac pour prévenir la survenue d’une BPCO et en ralentir l’évolution.
En France, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) concerne 3,5 millions de personnes. Elle peut conduire à une insuffisance respiratoire chronique et est responsable de 17 000 décès par an.
Encore méconnue du public, la BPCO reste sous-diagnostiquée : on estime que deux tiers des patients s’ignorent. Elle apparaît généralement après l’âge de 40 ans. Le tabagisme actif, mais également passif, représente la principale cause de la maladie (80% des cas).
Durant tout le mois de novembre, la Fondation du souffle mène une campagne visant à alerter le public sur le rôle délétère du tabagisme dans l’apparition et l’évolution d’une BPCO. L’arrêt total du tabac est essentiel pour prévenir cette maladie et constitue le seul moyen susceptible d’interrompre la progression de l’obstruction bronchique, tel est le message à relayer cette année.
Pour vous y aider, la Fondation du souffle met à votre disposition les outils de la campagne (affichette, flyer et dépliant à remettre au public). Ces documents peuvent être téléchargés sur son site Internet (rubrique « Soufflothèque« ) et commandés par téléphone (01 46 34 58 80) ou par courriel (kouroussa.mbae@lesouffle.org et accueil@lesouffle.org).
Par ailleurs, la Haute autorité de santé propose sur son site Internet un test de dépistage de la BPCO en cinq questions. Elle recommande d’orienter les personnes répondant « oui » à au moins trois d’entre elles vers un médecin en vue de faire mesurer leur souffle à l’aide d’un spiromètre.
Pour sa part, le Cespharm met à votre disposition un dossier d’information professionnelle faisant le point sur la prise en charge de la BPCO.
Dans le cadre de la campagne « Moi(s) sans tabac » et à l’occasion de la Journée mondiale contre la BPCO le 16 novembre prochain, la Fondation du souffle met l’accent sur l’importance d’arrêter le tabac pour prévenir la survenue d’une BPCO et en ralentir l’évolution.
En France, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) concerne 3,5 millions de personnes. Elle peut conduire à une insuffisance respiratoire chronique et est responsable de 17 000 décès par an.
Encore méconnue du public, la BPCO reste sous-diagnostiquée : on estime que deux tiers des patients s’ignorent. Elle apparaît généralement après l’âge de 40 ans. Le tabagisme actif, mais également passif, représente la principale cause de la maladie (80% des cas).
Durant tout le mois de novembre, la Fondation du souffle mène une campagne visant à alerter le public sur le rôle délétère du tabagisme dans l’apparition et l’évolution d’une BPCO. L’arrêt total du tabac est essentiel pour prévenir cette maladie et constitue le seul moyen susceptible d’interrompre la progression de l’obstruction bronchique, tel est le message à relayer cette année.
Pour vous y aider, la Fondation du souffle met à votre disposition les outils de la campagne (affichette, flyer et dépliant à remettre au public). Ces documents peuvent être téléchargés sur son site Internet (rubrique « Soufflothèque« ) et commandés par téléphone (01 46 34 58 80) ou par courriel (kouroussa.mbae@lesouffle.org et accueil@lesouffle.org).
Par ailleurs, la Haute autorité de santé propose sur son site Internet un test de dépistage de la BPCO en cinq questions. Elle recommande d’orienter les personnes répondant « oui » à au moins trois d’entre elles vers un médecin en vue de faire mesurer leur souffle à l’aide d’un spiromètre.
Pour sa part, le Cespharm met à votre disposition un dossier d’information professionnelle faisant le point sur la prise en charge de la BPCO.
Afin d’éviter la centaine de décès annuels liés à des intoxications au monoxyde de carbone, la période actuelle d’arrivée de l’hiver et de remise en marche des chauffages est idéale pour rappeler les gestes de prévention. Une affiche et une brochure sont à votre disposition via le Cespharm.
Maux de tête, nausées, fatigue, malaises… Face à ces symptômes, ce sont près de 2 000 personnes qui ont été prises en charge dans un service d’urgences hospitalières suite à une exposition au monoxyde de carbone pendant la saison 2015-2016 (source InVS – Santé publique France).
Ces intoxications potentiellement mortelles peuvent toutefois être évitées en adoptant les bons gestes de prévention, en particulier :
• vérification annuelle des appareils de chauffage, d’eau chaude et de ventilation ;
• respect du mode d’emploi des appareils à combustion (chauffages d’appoint notamment) ;
• aération des intérieurs au moins 10 minutes par jour afin de limiter la présence de monoxyde de carbone, indétectable par nos sens (inodore, incolore et non irritant) mais pourtant mortel.
Pour rappeler ces messages au plus grand nombre, le Cespharm vous propose une affiche et une brochure pédagogique éditées par l’Inpes (Santé publique France) et le ministère chargé de la Santé.
Sur le même thème, Santé publique France propose par ailleurs une brochure de sa collection « Pour comprendre » (documents adaptés à tous, quels que soient les capacités, l’âge, la langue ou la culture).
Afin d’éviter la centaine de décès annuels liés à des intoxications au monoxyde de carbone, la période actuelle d’arrivée de l’hiver et de remise en marche des chauffages est idéale pour rappeler les gestes de prévention. Une affiche et une brochure sont à votre disposition via le Cespharm.
Maux de tête, nausées, fatigue, malaises… Face à ces symptômes, ce sont près de 2 000 personnes qui ont été prises en charge dans un service d’urgences hospitalières suite à une exposition au monoxyde de carbone pendant la saison 2015-2016 (source InVS – Santé publique France).
Ces intoxications potentiellement mortelles peuvent toutefois être évitées en adoptant les bons gestes de prévention, en particulier :
• vérification annuelle des appareils de chauffage, d’eau chaude et de ventilation ;
• respect du mode d’emploi des appareils à combustion (chauffages d’appoint notamment) ;
• aération des intérieurs au moins 10 minutes par jour afin de limiter la présence de monoxyde de carbone, indétectable par nos sens (inodore, incolore et non irritant) mais pourtant mortel.
Pour rappeler ces messages au plus grand nombre, le Cespharm vous propose une affiche et une brochure pédagogique éditées par l’Inpes (Santé publique France) et le ministère chargé de la Santé.
Sur le même thème, Santé publique France propose par ailleurs une brochure de sa collection « Pour comprendre » (documents adaptés à tous, quels que soient les capacités, l’âge, la langue ou la culture).