Première cause de handicap mental non génétique en France, la consommation d’alcool pendant la grossesse peut entraîner retards de croissance, atteintes du système nerveux central, malformations ainsi que le syndrome d’alcoolisation fœtale, complication la plus grave.
Pourtant, 1 femme sur 10 déclare avoir occasionnellement consommé de l’alcool alors qu’elle était enceinte. Si l’état actuel des connaissances ne permet pas de définir le seuil de consommation d'alcool en-dessous duquel il n'y aurait pas de risques pour l’enfant à naître, les autorités sanitaires recommandent de s'abstenir de toute boisson alcoolisée pendant la grossesse par principe de précaution.
Ces données publiées par Santé publique France illustrent l’importance de continuer à marteler le message « zéro alcool pendant la grossesse » et à informer les femmes et leur entourage sur la toxicité de l’alcool.
Pour relayer ce message et vous associer à cette Journée de prévention du syndrome de l’alcoolisation fœtale, le Cespharm vous propose des affiches, une brochure et une vidéo.
Une affichette plus spécifiquement destinée aux femmes ayant des difficultés à ne pas consommer d’alcool pendant leur grossesse est également disponible sur le site du Cespharm (en téléchargement puis à la commande à partir du 21 septembre).