A l’approche de l’hiver, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils d’information rappelant les mesures à adopter pour limiter la transmission des virus hivernaux.

 

Selon Santé publique France, les virus responsables des gastro-entérites continuent à circuler en France métropolitaine, même si le taux d’incidence est repassé en dessous du seuil épidémique. L’Ile-de-France et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur se trouvent désormais en phase pré-épidémique de bronchiolite. Dans ce contexte, l’hygiène des mains est primordiale pour se protéger de ces infections.

 

Les mains représentent en effet un vecteur important de la transmission des virus de l’hiver. Il est donc recommandé de se les laver plusieurs fois par jour avec du savon ou d’utiliser une solution hydroalcoolique, notamment avant chaque repas, avant de s’occuper d’un nourrisson, après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, ou encore après avoir utilisé les transports en commun.

 

Pour vous aider à sensibiliser le public, le Cespharm vous propose des affiches, une brochure présentant de façon illustrée les principaux gestes de prévention à adopter pour limiter les risques d’infections virales respiratoires, ainsi que des dépliants sur la bronchiolite et la diarrhée du jeune enfant.

 

Sont également mis à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière et un dossier documentaire sur les infections respiratoires de l’hiver.

A l’approche de l’hiver, le Cespharm met à votre disposition une sélection d’outils d’information rappelant les mesures à adopter pour limiter la transmission des virus hivernaux.

 

Selon Santé publique France, les virus responsables des gastro-entérites continuent à circuler en France métropolitaine, même si le taux d’incidence est repassé en dessous du seuil épidémique. L’Ile-de-France et la région Provence-Alpes-Côte d’Azur se trouvent désormais en phase pré-épidémique de bronchiolite. Dans ce contexte, l’hygiène des mains est primordiale pour se protéger de ces infections.

 

Les mains représentent en effet un vecteur important de la transmission des virus de l’hiver. Il est donc recommandé de se les laver plusieurs fois par jour avec du savon ou d’utiliser une solution hydroalcoolique, notamment avant chaque repas, avant de s’occuper d’un nourrisson, après s’être mouché, avoir toussé ou éternué, ou encore après avoir utilisé les transports en commun.

 

Pour vous aider à sensibiliser le public, le Cespharm vous propose des affiches, une brochure présentant de façon illustrée les principaux gestes de prévention à adopter pour limiter les risques d’infections virales respiratoires, ainsi que des dépliants sur la bronchiolite et la diarrhée du jeune enfant.

 

Sont également mis à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière et un dossier documentaire sur les infections respiratoires de l’hiver.

Dans le cadre de la campagne « Moi(s) sans tabac » et à l’occasion de la Journée mondiale contre la BPCO le 16 novembre prochain, la Fondation du souffle met l’accent sur l’importance d’arrêter le tabac pour prévenir la survenue d’une BPCO et en ralentir l’évolution.

En France, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) concerne 3,5 millions de personnes. Elle peut conduire à une insuffisance respiratoire chronique et est responsable de 17 000 décès par an.

Encore méconnue du public, la BPCO reste sous-diagnostiquée : on estime que deux tiers des patients s’ignorent. Elle apparaît généralement après l’âge de 40 ans. Le tabagisme actif, mais également passif, représente la principale cause de la maladie (80% des cas).

Durant tout le mois de novembre, la Fondation du souffle mène une campagne visant à alerter le public sur le rôle délétère du tabagisme dans l’apparition et l’évolution d’une BPCO. L’arrêt total du tabac est essentiel pour prévenir cette maladie et constitue le seul moyen susceptible d’interrompre la progression de l’obstruction bronchique, tel est le message à relayer cette année.

Pour vous y aider, la Fondation du souffle met à votre disposition les outils de la campagne (affichette, flyer et dépliant à remettre au public). Ces documents peuvent être téléchargés sur son site Internet (rubrique « Soufflothèque« ) et commandés par téléphone (01 46 34 58 80) ou par courriel (kouroussa.mbae@lesouffle.org et accueil@lesouffle.org).

Par ailleurs, la Haute autorité de santé propose sur son site Internet un test de dépistage de la BPCO en cinq questions. Elle recommande d’orienter les personnes répondant « oui » à au moins trois d’entre elles vers un médecin en vue de faire mesurer leur souffle à l’aide d’un spiromètre.

Pour sa part, le Cespharm met à votre disposition un dossier d’information professionnelle faisant le point sur la prise en charge de la BPCO.

Dans le cadre de la campagne « Moi(s) sans tabac » et à l’occasion de la Journée mondiale contre la BPCO le 16 novembre prochain, la Fondation du souffle met l’accent sur l’importance d’arrêter le tabac pour prévenir la survenue d’une BPCO et en ralentir l’évolution.

En France, la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) concerne 3,5 millions de personnes. Elle peut conduire à une insuffisance respiratoire chronique et est responsable de 17 000 décès par an.

Encore méconnue du public, la BPCO reste sous-diagnostiquée : on estime que deux tiers des patients s’ignorent. Elle apparaît généralement après l’âge de 40 ans. Le tabagisme actif, mais également passif, représente la principale cause de la maladie (80% des cas).

Durant tout le mois de novembre, la Fondation du souffle mène une campagne visant à alerter le public sur le rôle délétère du tabagisme dans l’apparition et l’évolution d’une BPCO. L’arrêt total du tabac est essentiel pour prévenir cette maladie et constitue le seul moyen susceptible d’interrompre la progression de l’obstruction bronchique, tel est le message à relayer cette année.

Pour vous y aider, la Fondation du souffle met à votre disposition les outils de la campagne (affichette, flyer et dépliant à remettre au public). Ces documents peuvent être téléchargés sur son site Internet (rubrique « Soufflothèque« ) et commandés par téléphone (01 46 34 58 80) ou par courriel (kouroussa.mbae@lesouffle.org et accueil@lesouffle.org).

Par ailleurs, la Haute autorité de santé propose sur son site Internet un test de dépistage de la BPCO en cinq questions. Elle recommande d’orienter les personnes répondant « oui » à au moins trois d’entre elles vers un médecin en vue de faire mesurer leur souffle à l’aide d’un spiromètre.

Pour sa part, le Cespharm met à votre disposition un dossier d’information professionnelle faisant le point sur la prise en charge de la BPCO.

Afin d’éviter la centaine de décès annuels liés à des intoxications au monoxyde de carbone, la période actuelle d’arrivée de l’hiver et de remise en marche des chauffages est idéale pour rappeler les gestes de prévention. Une affiche et une brochure sont à votre disposition via le Cespharm.

Maux de tête, nausées, fatigue, malaises… Face à ces symptômes, ce sont près de 2 000 personnes qui ont été prises en charge dans un service d’urgences hospitalières suite à une exposition au monoxyde de carbone pendant la saison 2015-2016 (source InVS – Santé publique France).

Ces intoxications potentiellement mortelles peuvent toutefois être évitées en adoptant les bons gestes de prévention, en particulier :

• vérification annuelle des appareils de chauffage, d’eau chaude et de ventilation ;
• respect du mode d’emploi des appareils à combustion (chauffages d’appoint notamment) ;
• aération des intérieurs au moins 10 minutes par jour afin de limiter la présence de monoxyde de carbone, indétectable par nos sens (inodore, incolore et non irritant) mais pourtant mortel.

Pour rappeler ces messages au plus grand nombre, le Cespharm vous propose une affiche et une brochure pédagogique éditées par l’Inpes (Santé publique France) et le ministère chargé de la Santé.

Sur le même thème, Santé publique France propose par ailleurs une brochure de sa collection « Pour comprendre » (documents adaptés à tous, quels que soient les capacités, l’âge, la langue ou la culture).

Afin d’éviter la centaine de décès annuels liés à des intoxications au monoxyde de carbone, la période actuelle d’arrivée de l’hiver et de remise en marche des chauffages est idéale pour rappeler les gestes de prévention. Une affiche et une brochure sont à votre disposition via le Cespharm.

Maux de tête, nausées, fatigue, malaises… Face à ces symptômes, ce sont près de 2 000 personnes qui ont été prises en charge dans un service d’urgences hospitalières suite à une exposition au monoxyde de carbone pendant la saison 2015-2016 (source InVS – Santé publique France).

Ces intoxications potentiellement mortelles peuvent toutefois être évitées en adoptant les bons gestes de prévention, en particulier :

• vérification annuelle des appareils de chauffage, d’eau chaude et de ventilation ;
• respect du mode d’emploi des appareils à combustion (chauffages d’appoint notamment) ;
• aération des intérieurs au moins 10 minutes par jour afin de limiter la présence de monoxyde de carbone, indétectable par nos sens (inodore, incolore et non irritant) mais pourtant mortel.

Pour rappeler ces messages au plus grand nombre, le Cespharm vous propose une affiche et une brochure pédagogique éditées par l’Inpes (Santé publique France) et le ministère chargé de la Santé.

Sur le même thème, Santé publique France propose par ailleurs une brochure de sa collection « Pour comprendre » (documents adaptés à tous, quels que soient les capacités, l’âge, la langue ou la culture).

Depuis début octobre, la recrudescence des intoxications liées à la consommation de champignons de cueillette, amène l’ANSES et la Direction générale de la santé à rappeler les bonnes habitudes à acquérir pour pouvoir consommer, sans risque, le fruit de sa récolte.

 

Durant les trois premières semaines d’octobre, les centres antipoison et de toxicovigilance ont enregistré près d’une centaine d’intoxications liées à la consommation de champignons. Afin de limiter les accidents de ce type, la Direction générale de la Santé (DGS) et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) rappellent les mises en garde de rigueur.

Une fiche d’information élaborée par la DGS, est par ailleurs téléchargeable et imprimable depuis le site du Cespharm. Celle-ci pointe notamment l’importance de :

  • faire examiner la cueillette par un spécialiste (pharmacien, associations ou sociétés de mycologie) avant de la consommer ;
  • ne cueillir que des spécimens en bon état et entiers afin d’en faciliter l’identification ;
  • ne pas récolter près de sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) ;
  • pour éviter les contaminations, séparer les champignons par espèce ;
  • bannir les sacs plastiques, ils accélèrent le pourrissement ;
  • se laver les mains après la récolte, stocker les champignons au réfrigérateur et les consommer, toujours cuits, dans les 2 jours.

La DGS et l’ANSES rappellent en outre que l’apparition de symptômes (digestifs, visuels, vertiges…) dans les 12 heures qui suivent la consommation de champignons de cueillette doit faire contacter le 15 ou un centre antipoison.

Depuis début octobre, la recrudescence des intoxications liées à la consommation de champignons de cueillette, amène l’ANSES et la Direction générale de la santé à rappeler les bonnes habitudes à acquérir pour pouvoir consommer, sans risque, le fruit de sa récolte.

 

Durant les trois premières semaines d’octobre, les centres antipoison et de toxicovigilance ont enregistré près d’une centaine d’intoxications liées à la consommation de champignons. Afin de limiter les accidents de ce type, la Direction générale de la Santé (DGS) et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) rappellent les mises en garde de rigueur.

Une fiche d’information élaborée par la DGS, est par ailleurs téléchargeable et imprimable depuis le site du Cespharm. Celle-ci pointe notamment l’importance de :

  • faire examiner la cueillette par un spécialiste (pharmacien, associations ou sociétés de mycologie) avant de la consommer ;
  • ne cueillir que des spécimens en bon état et entiers afin d’en faciliter l’identification ;
  • ne pas récolter près de sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges) ;
  • pour éviter les contaminations, séparer les champignons par espèce ;
  • bannir les sacs plastiques, ils accélèrent le pourrissement ;
  • se laver les mains après la récolte, stocker les champignons au réfrigérateur et les consommer, toujours cuits, dans les 2 jours.

La DGS et l’ANSES rappellent en outre que l’apparition de symptômes (digestifs, visuels, vertiges…) dans les 12 heures qui suivent la consommation de champignons de cueillette doit faire contacter le 15 ou un centre antipoison.

Afin d’intensifier la lutte contre le tabagisme, l’Alliance contre le tabac lance un Appel aux professionnels de santé. Via une plateforme Internet récemment mise en ligne, l’objectif est de recueillir au moins 100 000 signatures de professionnels afin, notamment, d’interpeller les élus sur l’importance d’agir.

Le constat est lourd* : 220 décès chaque jour en France seraient liés au tabac et un fumeur vivrait en moyenne 15 ans de mois qu’un non-fumeur. Côté finances, le coût sanitaire du tabagisme est estimé à près de 26 milliards d’euros (les taxes sur le tabac n’en représentent « que » 14).

Face à ces chiffres, Michèle Delaunay (présidente de l’Alliance contre le tabac et députée) et Jean Deleuze (praticien attaché à l’hôpital Cochin et rédacteur en chef de La Revue du praticien) lancent l’Appel des 100 000. L’objectif de cette action est de recueillir 100 000 signatures de professionnels de santé :
•  s’engageant à venir activement en aide aux fumeurs ;
•  et souhaitant interpeller les responsables politiques pour donner une nouvelle impulsion à la lutte contre le tabagisme (respect effectif de la loi Evin, augmentation du prix du tabac, action de groupe possible contre les cigarettiers…).

Cet Appel est soutenu par les ordres professionnels et de nombreuses structures et sociétés savantes.

Pour y participer, rendez-vous sur la plateforme de recueil de signatures.

 

* Source : Alliance contre le tabac

Afin d’intensifier la lutte contre le tabagisme, l’Alliance contre le tabac lance un Appel aux professionnels de santé. Via une plateforme Internet récemment mise en ligne, l’objectif est de recueillir au moins 100 000 signatures de professionnels afin, notamment, d’interpeller les élus sur l’importance d’agir.

Le constat est lourd* : 220 décès chaque jour en France seraient liés au tabac et un fumeur vivrait en moyenne 15 ans de mois qu’un non-fumeur. Côté finances, le coût sanitaire du tabagisme est estimé à près de 26 milliards d’euros (les taxes sur le tabac n’en représentent « que » 14).

Face à ces chiffres, Michèle Delaunay (présidente de l’Alliance contre le tabac et députée) et Jean Deleuze (praticien attaché à l’hôpital Cochin et rédacteur en chef de La Revue du praticien) lancent l’Appel des 100 000. L’objectif de cette action est de recueillir 100 000 signatures de professionnels de santé :
•  s’engageant à venir activement en aide aux fumeurs ;
•  et souhaitant interpeller les responsables politiques pour donner une nouvelle impulsion à la lutte contre le tabagisme (respect effectif de la loi Evin, augmentation du prix du tabac, action de groupe possible contre les cigarettiers…).

Cet Appel est soutenu par les ordres professionnels et de nombreuses structures et sociétés savantes.

Pour y participer, rendez-vous sur la plateforme de recueil de signatures.

 

* Source : Alliance contre le tabac