Comme annoncé au printemps, Marisol Touraine lance le Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques. Articulé autour de 5 axes, celui-ci vise en particulier à améliorer la connaissance, la prévention et la prise en charge de ces pathologies.

« Ce plan vise à éviter le sentiment d’abandon et l’errance thérapeutique auxquels sont confrontés des malades de Lyme. Il permet de mieux comprendre la maladie, de soigner plus efficacement les patients et de mobiliser tous les outils disponibles pour prévenir la maladie. » L’essentiel est ainsi résumé par Marisol Touraine, fin septembre 2016, lors du coup d’envoi du Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques (encéphalites à tiques, Rickettsioses…).

 

Fruit des échanges entre les associations de patients, les professionnels et les autorités sanitaires, ce plan se divise en 5 axes stratégiques :

  • Améliorer la surveillance vectorielle et les mesures de lutte contre les tiques.
  • Renforcer la surveillance et la prévention des maladies transmises par les tiques, en intensifiant en particulier l’information auprès du public et la formation des professionnels de santé. Pour vous impliquer dores et déjà en ce sens, le Cespharm met à votre disposition une brochure grand public et un document d’information professionnelle sur la maladie de Lyme.
  • Améliorer et uniformiser la prise en charge des maladies : lutter contre l’«errance médicale» en élaborant notamment un protocole national de diagnostics et de soins.
  • Améliorer les tests diagnostiques : l’ANSM et le Centre national de référence poursuivent l’évaluation des kits déjà disponibles et de la bonne interprétation des résultats par les laboratoires de biologie médicale. En parallèle, l’Institut Pasteur engagera des travaux pour le développement de nouveaux outils diagnostiques.
  • Mobiliser la recherche sur les maladies transmissibles par les tiques : outils diagnostiques (voir point précédent), connaissance des agents pathogènes et des maladies.

Comme annoncé au printemps, Marisol Touraine lance le Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques. Articulé autour de 5 axes, celui-ci vise en particulier à améliorer la connaissance, la prévention et la prise en charge de ces pathologies.

« Ce plan vise à éviter le sentiment d’abandon et l’errance thérapeutique auxquels sont confrontés des malades de Lyme. Il permet de mieux comprendre la maladie, de soigner plus efficacement les patients et de mobiliser tous les outils disponibles pour prévenir la maladie. » L’essentiel est ainsi résumé par Marisol Touraine, fin septembre 2016, lors du coup d’envoi du Plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques (encéphalites à tiques, Rickettsioses…).

 

Fruit des échanges entre les associations de patients, les professionnels et les autorités sanitaires, ce plan se divise en 5 axes stratégiques :

  • Améliorer la surveillance vectorielle et les mesures de lutte contre les tiques.
  • Renforcer la surveillance et la prévention des maladies transmises par les tiques, en intensifiant en particulier l’information auprès du public et la formation des professionnels de santé. Pour vous impliquer dores et déjà en ce sens, le Cespharm met à votre disposition une brochure grand public et un document d’information professionnelle sur la maladie de Lyme.
  • Améliorer et uniformiser la prise en charge des maladies : lutter contre l’«errance médicale» en élaborant notamment un protocole national de diagnostics et de soins.
  • Améliorer les tests diagnostiques : l’ANSM et le Centre national de référence poursuivent l’évaluation des kits déjà disponibles et de la bonne interprétation des résultats par les laboratoires de biologie médicale. En parallèle, l’Institut Pasteur engagera des travaux pour le développement de nouveaux outils diagnostiques.
  • Mobiliser la recherche sur les maladies transmissibles par les tiques : outils diagnostiques (voir point précédent), connaissance des agents pathogènes et des maladies.

 

Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. A cette occasion, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information sur cette thématique, édités par l’Institut national du cancer (INCa).

Cette manifestation a notamment pour objectifs :
– d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque ;
– d’apporter aux femmes ciblées par le dépistage organisé tous les éléments leur permettant de faire le choix éclairé d’y participer ou non.

Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues de ces outils peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

 

Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé, les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

 

Par ailleurs, à l’occasion d’Octobre rose 2016, Marisol Touraine a annoncé une rénovation profonde du programme de dépistage organisé, confiée à l’INCa et à la Direction générale de la santé. Les modalités de cette refonte seront précisées à la fin de l’année. Cette annonce fait suite aux recommandations de l’INCa remises à la ministre, sur la base du rapport final de la concertation citoyenne et scientifique sur l’évolution de ce dépistage (consultable sur www.concertation-depistage.fr).

 

Comme chaque année, le mois d’octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. A cette occasion, le Cespharm vous propose une sélection d’outils d’information sur cette thématique, édités par l’Institut national du cancer (INCa).

Cette manifestation a notamment pour objectifs :
– d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque ;
– d’apporter aux femmes ciblées par le dépistage organisé tous les éléments leur permettant de faire le choix éclairé d’y participer ou non.

Pour vous y aider, le Cespharm met à votre disposition une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues de ces outils peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

 

Pour rappel, dans le cadre du dépistage organisé, les femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

 

Par ailleurs, à l’occasion d’Octobre rose 2016, Marisol Touraine a annoncé une rénovation profonde du programme de dépistage organisé, confiée à l’INCa et à la Direction générale de la santé. Les modalités de cette refonte seront précisées à la fin de l’année. Cette annonce fait suite aux recommandations de l’INCa remises à la ministre, sur la base du rapport final de la concertation citoyenne et scientifique sur l’évolution de ce dépistage (consultable sur www.concertation-depistage.fr).

 

La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et prendra fin le 31 janvier 2017. « Pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination », tel est le message-clé à relayer à nouveau cette saison.

Le taux de couverture vaccinale des populations à risque reste insuffisant malgré une légère remontée observée en 2015 (48,3% versus 46,1% en 2014). L’an dernier, 77% des cas de grippe admis en réanimation ont concerné des personnes présentant des facteurs de risque. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle aux personnes à risque que le vaccin est le moyen le plus efficace pour réduire les complications graves et les hospitalisations liées à la grippe.

Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée : les souches A (H3N2) et B sont actualisées tandis que la souche A (H1N1), responsable de la pandémie grippale de 2009, reste inchangée.

Rappelons que le vaccin antigrippal trivalent est pris en charge à 100% notamment pour :
– les sujets âgés de 65 ans et plus,
– les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
– les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
– les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.

Comme lors des campagnes précédentes, les personnes « non primo-vaccinantes » invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les « primo-vaccinants », pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.

Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie. Par ailleurs, le Cespharm met à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière.

 

La nouvelle campagne de vaccination contre la grippe saisonnière vient de débuter et prendra fin le 31 janvier 2017. « Pour éviter l’hospitalisation, passez à la vaccination », tel est le message-clé à relayer à nouveau cette saison.

Le taux de couverture vaccinale des populations à risque reste insuffisant malgré une légère remontée observée en 2015 (48,3% versus 46,1% en 2014). L’an dernier, 77% des cas de grippe admis en réanimation ont concerné des personnes présentant des facteurs de risque. Face à ce constat, l’Assurance maladie rappelle aux personnes à risque que le vaccin est le moyen le plus efficace pour réduire les complications graves et les hospitalisations liées à la grippe.

Cette année, la composition du vaccin antigrippal trivalent est modifiée : les souches A (H3N2) et B sont actualisées tandis que la souche A (H1N1), responsable de la pandémie grippale de 2009, reste inchangée.

Rappelons que le vaccin antigrippal trivalent est pris en charge à 100% notamment pour :
– les sujets âgés de 65 ans et plus,
– les personnes souffrant de certaines pathologies chroniques,
– les femmes enceintes quel que soit le trimestre de la grossesse,
– les personnes obèses ayant un IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2.

Comme lors des campagnes précédentes, les personnes « non primo-vaccinantes » invitées par l’Assurance maladie peuvent retirer directement le vaccin chez leur pharmacien sur présentation de leur imprimé de prise en charge et se faire vacciner par un(e) infirmier(e) libéral(e), sans prescription médicale préalable. Sont exclus de ce dispositif les femmes enceintes, les sujets de moins de 18 ans et les « primo-vaccinants », pour lesquels une prescription médicale reste obligatoire.

Un mémo récapitulant les modalités de la campagne est consultable sur le site de l’Assurance maladie. Par ailleurs, le Cespharm met à votre disposition un document d’information professionnelle faisant le point sur la prévention de la grippe saisonnière.

Inviter les français à arrêter de fumer, ensemble, pendant tout le mois de novembre. Telle est l’ambition de la campagne « Moi(s) sans tabac », lancée par Santé publique France. Professionnels de proximité, les pharmaciens ont un grand rôle à jouer dans la promotion de l’opération et l’accompagnement du sevrage.

« Ici, on soutient tous ceux qui ont décidé d’arrêter de fumer ». Certaines vitrines d’officines affichent dores et déjà ce slogan en relais de la campagne « Moi(s) sans tabac ». Inspirée d’un concept déjà en place Outre-Manche depuis plusieurs années, cette opération de soutien à l’arrêt du tabac est lancée en France par l’Agence nationale de Santé publique.

 

Son objectif ? Inviter un maximum de fumeurs à arrêter « ensemble » durant tout le mois de novembre, parce que, selon les études, un mois sans fumer multiplie par 5 les chances d’arrêter définitivement. L’idée est d’inviter les fumeurs à participer à l’événement en s’inscrivant sur le site tabac-info-service.fr ou en contactant la structure par téléphone au 39 89.

 

Son dispositif ? Dès le mois d’octobre, afin de mobiliser un maximum de participants pour le « défi » de novembre, des actions de communication de grande ampleur sont mises en place : spots télé, radio, affiches, bannières Internet.

 

Et vous, en tant que pharmacien ? Acteur de santé de proximité, vous avez un rôle majeur à jouer dans cette campagne. Tous les pharmaciens, quels que soient leurs lieux d’exercice, peuvent commander flyers, brochures et affiches via le Cespharm. Des outils professionnels d’information et d’accompagnement du sevrage tabagique vous sont également proposés.
Par ailleurs, si 20 000 officines de métropole et d’Outre-mer se sont vues proposer des vitrophanies aux couleurs de l’opération, les officines non visitées recevront une affiche de la campagne afin de l’apposer dans leur vitrine. Chaque officine recevra automatiquement, courant octobre, 5 kits d’aide à l’arrêt du tabac par l’intermédiaire de son grossiste répartiteur et pourra ensuite se réapprovisionner par le même canal (code ACL : 340 154 250 033 6).

Inviter les français à arrêter de fumer, ensemble, pendant tout le mois de novembre. Telle est l’ambition de la campagne « Moi(s) sans tabac », lancée par Santé publique France. Professionnels de proximité, les pharmaciens ont un grand rôle à jouer dans la promotion de l’opération et l’accompagnement du sevrage.

« Ici, on soutient tous ceux qui ont décidé d’arrêter de fumer ». Certaines vitrines d’officines affichent dores et déjà ce slogan en relais de la campagne « Moi(s) sans tabac ». Inspirée d’un concept déjà en place Outre-Manche depuis plusieurs années, cette opération de soutien à l’arrêt du tabac est lancée en France par l’Agence nationale de Santé publique.

 

Son objectif ? Inviter un maximum de fumeurs à arrêter « ensemble » durant tout le mois de novembre, parce que, selon les études, un mois sans fumer multiplie par 5 les chances d’arrêter définitivement. L’idée est d’inviter les fumeurs à participer à l’événement en s’inscrivant sur le site tabac-info-service.fr ou en contactant la structure par téléphone au 39 89.

 

Son dispositif ? Dès le mois d’octobre, afin de mobiliser un maximum de participants pour le « défi » de novembre, des actions de communication de grande ampleur sont mises en place : spots télé, radio, affiches, bannières Internet.

 

Et vous, en tant que pharmacien ? Acteur de santé de proximité, vous avez un rôle majeur à jouer dans cette campagne. Tous les pharmaciens, quels que soient leurs lieux d’exercice, peuvent commander flyers, brochures et affiches via le Cespharm. Des outils professionnels d’information et d’accompagnement du sevrage tabagique vous sont également proposés.
Par ailleurs, si 20 000 officines de métropole et d’Outre-mer se sont vues proposer des vitrophanies aux couleurs de l’opération, les officines non visitées recevront une affiche de la campagne afin de l’apposer dans leur vitrine. Chaque officine recevra automatiquement, courant octobre, 5 kits d’aide à l’arrêt du tabac par l’intermédiaire de son grossiste répartiteur et pourra ensuite se réapprovisionner par le même canal (code ACL : 340 154 250 033 6).

Prévenir le risque de confusions et d’erreurs. Tel est le but du projet de recommandations de l’ANSM sur les noms des médicaments. En tant que professionnels, vous êtes invités à commenter et proposer d’éventuelles modifications à ce projet de texte.

Vous avez jusqu’au 30 novembre 2016 pour participer à la consultation publique lancée par l’ANSM dans le cadre de son projet de recommandations sur les noms des médicaments. Jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de commenter et de proposer d’éventuelles modifications au projet de texte en ligne.

Ces recommandations « à l’usage des demandeurs et titulaires d’autorisations de mise sur le marché ou d’enregistrements », ont pour objectif de prévenir les risques pour la santé publique liés aux choix des noms des médicaments : confusions entre deux produits, erreur sur la population cible, les indications, la composition, les modalités d’utilisation… Des problématiques qui sont susceptibles de survenir à la fois lors de la prescription, de la dispensation ou de l’administration du médicament.

Via ce texte, l’ANSM – en charge de l’examen de ces noms – rappelle aux industriels les critères retenus lors de cet examen et propose des orientations nouvelles. Elle préconise notamment :

  • un encadrement plus strict des « marques ombrelles » ;
  • davantage de rigueur également vis-à-vis de la mention de l’arôme sur le conditionnement des médicaments ;
  • une expression en DCI du nom des génériques.

Prévenir le risque de confusions et d’erreurs. Tel est le but du projet de recommandations de l’ANSM sur les noms des médicaments. En tant que professionnels, vous êtes invités à commenter et proposer d’éventuelles modifications à ce projet de texte.

Vous avez jusqu’au 30 novembre 2016 pour participer à la consultation publique lancée par l’ANSM dans le cadre de son projet de recommandations sur les noms des médicaments. Jusqu’à cette date, vous avez la possibilité de commenter et de proposer d’éventuelles modifications au projet de texte en ligne.

Ces recommandations « à l’usage des demandeurs et titulaires d’autorisations de mise sur le marché ou d’enregistrements », ont pour objectif de prévenir les risques pour la santé publique liés aux choix des noms des médicaments : confusions entre deux produits, erreur sur la population cible, les indications, la composition, les modalités d’utilisation… Des problématiques qui sont susceptibles de survenir à la fois lors de la prescription, de la dispensation ou de l’administration du médicament.

Via ce texte, l’ANSM – en charge de l’examen de ces noms – rappelle aux industriels les critères retenus lors de cet examen et propose des orientations nouvelles. Elle préconise notamment :

  • un encadrement plus strict des « marques ombrelles » ;
  • davantage de rigueur également vis-à-vis de la mention de l’arôme sur le conditionnement des médicaments ;
  • une expression en DCI du nom des génériques.