En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 103 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [86 ; 120]), en dessous du seuil épidémique (187 cas pour 100 000 habitants) [1].

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.

Durant tout le mois d’octobre, l’Institut national du cancer renouvelle sa campagne de sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Partenaire de cette action, le Cespharm vous propose une sélection d’outils à remettre aux femmes concernées.

Tout comme en 2014, l’édition 2015 d’ « Octobre rose » a pour objectif d’informer les femmes sur les différentes modalités du dépistage de ce cancer adaptées à chaque niveau de risque, ainsi que sur les bénéfices et les limites du dépistage organisé. A cette occasion, les recommandations de la Haute autorité de santé sont rappelées :

– A partir de l’âge de 50 ans, une mammographie est recommandée tous les deux ans.

– Avant cet âge, le dépistage n’est préconisé que pour les femmes à haut risque selon des modalités spécifiques en fonction du facteur de risque.

Pour rappel, le programme national de dépistage organisé du cancer du sein s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans sans facteur de risque particulier. Elles sont invitées tous les 2 ans à bénéficier d’un examen clinique des seins et d’une mammographie avec « double lecture » (les examens jugés normaux sont systématiquement relus par un second radiologue), pris en charge à 100 %.

Pour vous aider à relayer cette manifestation, le Cespharm met à votre disposition l’affiche de la campagne ainsi qu’une sélection de documents d’information professionnelle et d’outils à remettre aux femmes concernées (carte postale ; dépliant présentant de façon synthétique le déroulement, les avantages et les inconvénients du dépistage organisé ; brochure proposant une information plus détaillée sur ce dépistage). Des versions multilingues des outils de la campagne peuvent être commandées sur le site de l’INCa.

En parallèle, l’INCa vient de lancer une concertation citoyenne et scientifique sur les perspectives d’évolution du dépistage de ce cancer. Les femmes, les professionnels de santé, les associations et les institutions sont invités à faire part de leurs opinions, à témoigner et à proposer des suggestions d’amélioration via une plateforme de contributions en ligne (www.concertation-depistage.fr). A noter que le dépôt des contributions sera ouvert jusqu’au 15 mars 2016.

Si le « Don de vie » a été labellisé Grande cause nationale en 2009 et largement promu depuis, le public ne semble pas encore familiarisé avec toutes les possibilités en termes de dons. Pour faire le tour de la question, le Cespharm propose un mini-dépliant complet.

Don de sang placentaire, don de sang, don de plasma, don de plaquettes, don de moelle osseuse et don d’organes. Pour faire connaître les Dons de vie, les associations Laurette Fugain, Gregory Lemarchal et la fondation Greffe de vie proposent un dépliant au format carte de crédit. Petit mais complet, ce document explique en quoi consistent ces dons et les conditions à remplir pour les réaliser.

Outre ces informations, la carte dépliante recense les adresses Internet et les numéros de téléphones utiles sur le sujet. Deux cartes de donneur d’organes sont également rattachées à ce document. Bien que dépourvues de valeur légale, celles-ci peuvent toutefois constituer un moyen complémentaire d’affirmer son souhait en la matière. Rien ne pourra toutefois remplacer l’expression de sa position à ses proches, de son vivant, puisque c’est auprès d’eux que les médecins sont légalement tenus de vérifier qu’aucune opposition au don n’avait été exprimée par le défunt.

Ces dépliants d’information sont disponibles à la commande auprès du Cespharm. A diffuser largement !

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 15 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [7 ; 23]), en dessous du seuil épidémique (97 cas pour 100 000 habitants) [1].

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.