La mise sur le marché du premier autotest de dépistage du VIH est attendue pour mi-septembre. Profitez de l’été pour vous y préparer ! Afin de vous y aider, le Cespharm a élaboré une fiche pratique destinée à vous guider dans la dispensation de ce nouveau dispositif médical. En trois clics, elle sera téléchargée et imprimée.

C’est mi-septembre qu’arrivera dans les officines le premier autotest de dépistage du VIH. Un test destiné à être réalisé par le patient lui-même, dans un environnement domestique.

Délai de fiabilité de l’autotest par rapport à la dernière prise de risque, renvoi vers Sida info service pour la réponse à toute question ou accompagnement au moment de la réalisation du test ou face au résultat, contacts utiles au niveau national et local, conduite à tenir en six points très concrets lors de la dispensation d’un autotest… Tous ces éléments sont détaillés dans la Fiche pratique Accompagner la dispensation d’un autotest de dépistage du VIH, élaborée par le Cespharm en partenariat avec la Société française de lutte contre le sida (SFLS). Cet outil pratique et concret a été pensé pour accompagner votre exercice au quotidien.

Un tableau recensant les différentes solutions de dépistage et leur fiabilité en fonction du délai écoulé depuis le dernier risque d’exposition au VIH figure également dans ce document.

Téléchargeable et imprimable, cette fiche vous permettra d’être au point dès les premières demandes qui vous seront adressées !

Pour une formation encore plus poussée sur le VIH et les autotests, contactez votre COREVIH le plus proche.

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de varicelle vus en consultation de médecine générale a été estimé à 40 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [25 ; 55]).
Dix foyers régionaux ont été observés, d’activité forte en Nord-Pas-de-Calais (101 cas pour 100 000 habitants), Provence-Alpes-Côte-d’Azur (59), Poitou-Charentes (49) et Basse-Normandie (45) et modérée en Lorraine (34), Pays-de-la-Loire (34), Aquitaine (33), Languedoc-Roussillon (26), Midi-Pyrénées (25) et Centre (20).

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 92 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [71 ; 113]), en dessous du seuil épidémique (173 cas pour 100 000 habitants) [1].

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.

En France métropolitaine, la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 4 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [0 ; 8]), en dessous du seuil épidémique (73 cas pour 100 000 habitants) [1].

[1] Costagliola D, et al. A routine tool for detection and assessment of epidemics of influenza-like syndromes in France. Am J Public Health. 1991;81(1):97-9.

Méfiance et conscience du danger potentiel des produits utilisés à des fins amaigrissantes sont primordiales de la part des professionnels de santé et du public. Dans un rapport récemment publié sur ce thème, l’ANSM fait notamment le point sur les informations à diffuser en la matière.

Le rapport de l’ANSM intitulé « Evaluation des risques liés à l’utilisation de produits de santé à des fins d’amaigrissement », publié il y a quelques jours, fait le point sur les pratiques visant une perte de poids et leurs risques (gare notamment aux prescriptions hors AMM).

L’Agence alerte sur l’importance d’une vigilance permanente par chacun « compte tenu du renouvellement constant de l’offre ». Elle note par ailleurs que son « contrôle de la promotion autour des produits revendiquant un effet sur le poids est fonction de leur statut réglementaire et ne peut être exhaustif ».

Au travers de ses 30 pages, le rapport recense également les informations qui doivent être connues du grand public et communiquées par les professionnels de santé.

Le public doit en particulier être conscient qu’aucune décision de perte du poids n’est anodine. La méfiance doit être de mise sur les produits vendus sur Internet, les médicaments conseillés par des proches, les produits dont l’origine n’est pas connue même s’ils se revendiquent naturels et les méthodes « miracle ». Par ailleurs, la prise en charge du surpoids ou de l’obésité nécessite un contrôle médical.

Les patients doivent également être sensibilisés au fait que toute réaction anormale suite à la prise d’un produit de santé doit être signalée à un médecin ou à un pharmacien. Les effets indésirables peuvent être déclarés par le patient lui-même auprès de l’ANSM et l’Agence européenne du médicament diffuse une fiche d’information à ce sujet.

Vous êtes particulièrement bien placés pour faire passer ces messages. A vous de jouer !