<strong>Les IRA sont dues à différents virus respiratoires dont le SARS-CoV-2 (COVID-19), les virus grippaux et d'autres virus respiratoires comme le VRS, le rhinovirus, ou le métapneumovirus. La surveillance des IRA a donc pour objectif le suivi des épidémies de grippe, de COVID-19 ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers.<br />
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En France métropolitaine</strong>, la semaine dernière (2022s14), le taux d'incidence des cas d'IRA vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale a été estimé à 415 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [388 ; 442]). Ce taux est en légère diminution par rapport à la semaine 2022s13 (données consolidées : 433 [410 ; 456]).<br />
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<strong>Au niveau régional</strong>, les taux d'incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d'Azur (702 [539 ; 865]), Corse (572 [344 ; 800]) et Nouvelle-Aquitaine (530 [436 ; 624]). <br />
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<strong>COVID-19</strong> <strong>:</strong> la semaine dernière (2022s14), le taux d'incidence des IRA dues au SARS-CoV-2 (COVID-19) vues en consultation de médecine générale a été estimé à 93 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [81 ; 106]). Ce taux poursuit l'augmentation observée ces dernières semaines. <br />
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<strong>GRIPPE :</strong> diminution de l'incidence des syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale<br />
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<strong>Autres virus respiratoires :</strong> faible circulation des rhinovirus, métapneumovirus et VRS observée en semaine 2022s14.