<strong>Les IRA sont dues à différents virus respiratoires (SARS-CoV-2 (COVID-19), virus grippaux, ainsi que d'autres virus respiratoires comme le VRS, le rhinovirus, ou le métapneumovirus). La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies dues à ces virus.</strong><br />
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<strong>En France métropolitaine</strong>, la semaine dernière (2022s15), le taux d'incidence des cas d'infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation de médecine générale a été estimé à <strong>348 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [318 ; 378])</strong>. Ce taux est <strong>en baisse</strong> par rapport à la semaine 2022s14 (données consolidées : 381 [359 ; 403]).<br />
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<strong>Au niveau régional</strong>, les taux d'incidence les plus élevés ont été observés en : Grand Est (541 [367 ; 715]), Nouvelle-Aquitaine (487 [375 ; 599]) et Bretagne (472 [351 ; 593]). <br />
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<strong>COVID-19</strong> : légère diminution de l'incidence des IRA dues à la COVID-19 vues en consultation de médecine générale<br />
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<strong>GRIPPE :</strong> diminution de l'incidence des syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale<br />
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<strong>Autres virus respiratoires :</strong> faible circulation des VRS, métapneumovirus et rhinovirus