Les IRA sont dues à différents virus respiratoires dont le SARS-CoV-2 (COVID-19), les virus grippaux et d'autres virus respiratoires comme le VRS, le rhinovirus, ou le métapneumovirus. La surveillance des IRA a pour objectif le suivi des épidémies dues à ces virus.En France métropolitaine, la semaine dernière (2022s19), le taux d'incidence des cas d'infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 73 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [62 ; 84]). Ce taux est en diminution par rapport à la semaine 2022s18 (données consolidées : 95 [84 ; 106]).
Au niveau régional, les taux d'incidence les plus élevés ont été observés en : Hauts-de-France (132 [68 ; 196]), Provence-Alpes-Côte d'Azur (122 [63 ; 181]) et Normandie (100 [31 ; 169]).
COVID-19 : poursuite de la diminution de l'incidence des IRA dues à la COVID-19 vues en consultation de médecine générale
GRIPPE : poursuite de la diminution de l'incidence des syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale
Autres virus respiratoires : faible circulation des VRS, métapneumovirus et rhinovirus